Est-il possible de (re)vivre la joie des premiers chrétiens?
Bonjour,
J'ai toujours à ce jour pas de réponse concernant ma question sur L'Action Biblique évangélique en Suisse.
Les connaissez vous et qu'en pensez-vous ?
(j'ai lu leur conféssion de foi et leur historique) :
Rien à voir avec ci dessous.
J'aimerai avoir votre avis (si on compare les Assemblée de Dieu, les charismatiques/pentecôtistes et d'autres églises évangéliques qui croivent que le christianisme n'est réellement vécu que s'il bouleverse la vie, s'il introduit celui qui cherche la vérité, dans la communion vivante avec Jésus-Christ, s'il donne un sens nouveau à l'existence.
Qu'il est possible de recevoir aujourd'hui la joie de vivre utilement et d'expérimenter des délivrances, des guérisons, et des visitations du Saint-Esprit comme aux jours de l'Eglise première (primitive).
Sincères salutations
Pour ce qui est de votre première question, je vous renvoie aux nombreuses réponses qui décrivent les églises et communautés de type évangélique. CF. Les thèmes – Eglises et autres communautés charismatiques ou évangéliques.
J’aimerais aborder la seconde partie que j’ai ramassée sous le titre que vous lisez en cet instant. Vos formulations (communion vivante avec Jésus-Christ – un sens nouveau à l’existence – expérimenter des délivrances, etc.…) résument parfaitement les messages et promesses des mouvements évangéliques. C’est ainsi que l’on se représente l’église primitive. Je suppose que vous vous demandez : est-ce possible aujourd’hui ?
Je vous invite à dépasser ces « mots » très évangéliques, très bibliques, très « pieux » en fin de compte. Car ce qui compte, ce n’est pas ce que telle ou telle église vous promet, mais ce que vous, avec vos mots, vous recherchez.
Un jour, un homme s’approche de Jésus et le questionne : « Que dois-je faire pour hériter du Royaume ? » Question pieuse par excellence ! Jésus le sonde, l’interroge sur « sa piété » (nous dirions aujourd’hui, sur sa vie spirituelle) et le trouva très sympathique (l’évangéliste Marc utilise, au chapitre 10, le verbe aimer). Jésus sent alors que quelque chose freine cet homme, fait entrave et il lui répond : « Va, vends tes biens et suis-moi. » Nous ne savons rien d’autre de ce qu’il est advenu de cet homme, hormis le fait que, ce jour-là, il n’a pas pu se décider à se séparer de ces liens.
Nous avons chacun nos entraves qui viennent embrouiller nos vies mais le jour où nous en prenons pleinement conscience, alors, oui… ces mots évangéliques correspondront à quelque chose de concret ; c’est vous qui pourriez alors dire : « C’est possible ! »
Bonne route !
J’aimerais aborder la seconde partie que j’ai ramassée sous le titre que vous lisez en cet instant. Vos formulations (communion vivante avec Jésus-Christ – un sens nouveau à l’existence – expérimenter des délivrances, etc.…) résument parfaitement les messages et promesses des mouvements évangéliques. C’est ainsi que l’on se représente l’église primitive. Je suppose que vous vous demandez : est-ce possible aujourd’hui ?
Je vous invite à dépasser ces « mots » très évangéliques, très bibliques, très « pieux » en fin de compte. Car ce qui compte, ce n’est pas ce que telle ou telle église vous promet, mais ce que vous, avec vos mots, vous recherchez.
Un jour, un homme s’approche de Jésus et le questionne : « Que dois-je faire pour hériter du Royaume ? » Question pieuse par excellence ! Jésus le sonde, l’interroge sur « sa piété » (nous dirions aujourd’hui, sur sa vie spirituelle) et le trouva très sympathique (l’évangéliste Marc utilise, au chapitre 10, le verbe aimer). Jésus sent alors que quelque chose freine cet homme, fait entrave et il lui répond : « Va, vends tes biens et suis-moi. » Nous ne savons rien d’autre de ce qu’il est advenu de cet homme, hormis le fait que, ce jour-là, il n’a pas pu se décider à se séparer de ces liens.
Nous avons chacun nos entraves qui viennent embrouiller nos vies mais le jour où nous en prenons pleinement conscience, alors, oui… ces mots évangéliques correspondront à quelque chose de concret ; c’est vous qui pourriez alors dire : « C’est possible ! »
Bonne route !
