Vous évoquez la fragilité de la vie menacée par la mort. La conscience de cette fragilité nous rejoint objectivement lorsque nous sommes confrontés à la mort autour de nous, elle nous rejoint aussi subjectivement lorsque la maladie ou l’accident surviennent dans notre vie. C’est une réalité, c’est vrai.

La perspective de laisser des enfants qui ont encore besoin de leur parent  est certainement une préoccupation très importante et douloureuse, la confiance que Dieu le sait aussi, qu’il place autour de vous et de vos enfants des personnes qui pourront les aider à poursuivre leurs chemins, cela vous aide-t-il ?

Les parents ne sont pas seuls en route pour accompagner leurs enfants dans leur vie, il en est de même pour vous aussi. Sur qui pouvez-vous vous appuyer pour partager vos préoccupations ? Bon chemin.