
Dieu aimerait le péché ?
Bonjour ! je sais que vous n'aimez pas trop qu'on réagisse aux questions posées par d'autres et aux réponses données, mais puis-je tout de même reprendre la question de josiane et la réponse du pasteur boucomont. Mr boucomont dit que dieu nous aime tel que nous sommes. pourtant jésus dit souvent : va et ne pèche plus. ou des phrases qui vont dans ce sens. a lire Mr Boucomont, on pourrait penser que dieu aime le péché de l'homme, sa maladie. personnellement, je crois que dieu déteste le péché et est heureux quand l'homme s'en débarrasse ! n'êtes-vous pas d'accord ?
Oh non, Dieu n'aime pas le péché, c'est sûr. Puisque le péché, c'est la rupture
avec lui.
Pourtant Jésus aime les gens comme ils sont, tout simplement parce que s'il
devait trouver des gens suffisamment "sans péché", il n'en trouverait pas et
il n'aurait personne à aimer !
J'ai bien dit dans la réponse que vous évoquez que DIeu aime la personne, mais
pas le péché en elle. C'est ce que j'exprimais en essayant de dire qu'il voulait
que le malade trouve son identité ailleurs que dans la maladie.
A partir du moment où une personne accepte d'être en relation avec Dieu, l'emprise
du péché diminue. Le but étant, vous avez tout à fait raison, la communion avec
Dieu. Mais il ne faut pas se laisser tenter par le fait que c'est nous qui serions
tellement maîtres du rétablissement de cette communion. C'est par grâce que nous sommes
sauvés, par le moyen de la foi.
avec lui.
Pourtant Jésus aime les gens comme ils sont, tout simplement parce que s'il
devait trouver des gens suffisamment "sans péché", il n'en trouverait pas et
il n'aurait personne à aimer !
J'ai bien dit dans la réponse que vous évoquez que DIeu aime la personne, mais
pas le péché en elle. C'est ce que j'exprimais en essayant de dire qu'il voulait
que le malade trouve son identité ailleurs que dans la maladie.
A partir du moment où une personne accepte d'être en relation avec Dieu, l'emprise
du péché diminue. Le but étant, vous avez tout à fait raison, la communion avec
Dieu. Mais il ne faut pas se laisser tenter par le fait que c'est nous qui serions
tellement maîtres du rétablissement de cette communion. C'est par grâce que nous sommes
sauvés, par le moyen de la foi.

