
Continuer à parle de volonté de Dieu ?
Chers amis, je suis sans doute banal dans ma réaction, et prévisible, mais quand je vois en Asie plus de 17000 hommes, femmes et enfants morts en quelques secondes suite à quelques vagues exceptionnellement fortes, je pense qu'il serait pudique, honnête et adulte, que les tous chrétiens, y compris et surtout les pasteurs et curés, parlent de la volonté divine et de la présence du Seigneur en termes purement et uniquement symboliques. Ce sont des façons de "dire" les choses humaines (et il y a beaucoup à dire) mais il n'y a aucune réalité (ni pouvoir ni puissance ni intervention ni amour...) hors de l'homme. Aurez-vous le courage de dire (clairement) le contraire ?
r>Je ne suis pas d'accord qu'on doive simplement parler de la volonté de Dieu
qu'à un niveau symbolique, que comme une image et une métaphore. Dieu veut des
choses bien précises pour nous et il attend des choses bien précises de nous.
Ce qui me choque, c'est ce que vous sous-entendez dans votre question : vous
sous-entendez que c'est Dieu qui aurait voulu la mort de l'homme, les cataclysmes,
guerres et tsunamis... Et ça, c'est très choquant. Dans le livre d'Ezchiel (ch.
18, v. 32), il y a une parole qui dit bien que Dieu se place du côté de la vie
et non pas du côté de la mort (ce qui est le message central du Christ et de
ceux qui essayent de le suivre) : "Car je ne désire pas la mort de celui qui
meurt, dit le Seigneur, l'Éternel. Convertissez-vous donc, et vivez."
Je refuse, avec vous, mais très différemment de vous, me semble-t-il qu'on fasse
de Dieu le Dieu de la mort. Il est amour et puissance, contre toutes nos élucubrations
et incompréhensions.
Mais l'essentiel est ailleurs :
Ceux qui aujourd'hui pleurent ont plus besoin de notre respect et de notre générosité
que de querelles théologiques.
qu'à un niveau symbolique, que comme une image et une métaphore. Dieu veut des
choses bien précises pour nous et il attend des choses bien précises de nous.
Ce qui me choque, c'est ce que vous sous-entendez dans votre question : vous
sous-entendez que c'est Dieu qui aurait voulu la mort de l'homme, les cataclysmes,
guerres et tsunamis... Et ça, c'est très choquant. Dans le livre d'Ezchiel (ch.
18, v. 32), il y a une parole qui dit bien que Dieu se place du côté de la vie
et non pas du côté de la mort (ce qui est le message central du Christ et de
ceux qui essayent de le suivre) : "Car je ne désire pas la mort de celui qui
meurt, dit le Seigneur, l'Éternel. Convertissez-vous donc, et vivez."
Je refuse, avec vous, mais très différemment de vous, me semble-t-il qu'on fasse
de Dieu le Dieu de la mort. Il est amour et puissance, contre toutes nos élucubrations
et incompréhensions.
Mais l'essentiel est ailleurs :
Ceux qui aujourd'hui pleurent ont plus besoin de notre respect et de notre générosité
que de querelles théologiques.

