Le salut, c'est pas la même chose que le bonheur ?
Le salut, c'est pas pareil que le bonheur ? C'est juste dans la tete . Il faut croire qu'on a le salut = l'amour de Dieu, mais il y a pas de preuve, c'est la foi . Le bonheur, on l'a ou on l'a pas . Mais pourquoi Dieu il donne la foi à certains et le bonheur aux autres ; ça vous parais pas bizarre ? salut ? Bonheur ? foi ? je m'ambrouille un peu avec tout ça !
C'est quoi, le bonheur pour vous ? J'ai un peu l'impression que vous confondez
le bonheur avec une absence de soucis que pourrait procurer par exemple la richesse.
Et c'est la raison pour laquelle je vous propose de méditer une parabole biblique
que vous trouverez dans l'évangile de Luc, chapitre 16, à partir du verset 19.
C'est l'histoire d'un homme riche, dont on ne connaît pas le nom, et d'un pauvre
qui s'appelle Lazare. Le pauvre en mourant va aller au paradis: il est sauvé.
Le riche meurt à son tour et va souffrir mille tourments. Et la morale de l'histoire
semble être, dans un premier temps, que ceux qui jouissent d'une vie heureuse sur
terre souffrent plus tard, et réciproquement.
Mais un élément de l'histoire nous fait penser que les choses ne sont ni aussi
automatiques, ni aussi caricaturales: c'est la mention des avertisseurs que
sont la Loi de Moïse et les prophètes; grâce à eux donc, il serait possible
de gagner sûrement le paradis.
Et l'on cherche dans l'histoire du pauvre et du riche ce que l'un et l'autre
ont bien pu faire (pour ou contre ces avertisseurs) pour mériter leur sort;
on peut alors faire pas mal d'hypothèses, mais le seul élément objectif que
l'on trouve, c'est que le pauvre avait un nom et le riche pas. Le pauvre était
quelqu'un devant Dieu, alors que le riche n'avait fait que profiter toute sa
vie, sans vraiment faire quelque chose de sa vie.
Alors la conclusion: être heureux (dans le sens: festoyer, profiter de la vie,
bien manger, etc.) n'est pas une garantie de salut. Mais faire quelque chose
de sa vie, être quelqu'un devant Dieu en est une. Et c'est donc peut-être cela
qui peut faire que nous serons heureux ou non sur la terre !
Et la foi dans tout cela ? Peut-être que cette histoire nous dit que ce n'est
finalement pas le plus important. Luc 12, 31 dit: "préoccupez-vous d'abord du
royaume de Dieu, et tout le reste vous sera donné en plus" ... sans doute que
la foi aussi !
Quant au vrai bonheur, sans doute réaliserons-nous vraiment ce qu'il est lorsque
nous serons parvenus, par Sa grâce, dans son Royaume !
le bonheur avec une absence de soucis que pourrait procurer par exemple la richesse.
Et c'est la raison pour laquelle je vous propose de méditer une parabole biblique
que vous trouverez dans l'évangile de Luc, chapitre 16, à partir du verset 19.
C'est l'histoire d'un homme riche, dont on ne connaît pas le nom, et d'un pauvre
qui s'appelle Lazare. Le pauvre en mourant va aller au paradis: il est sauvé.
Le riche meurt à son tour et va souffrir mille tourments. Et la morale de l'histoire
semble être, dans un premier temps, que ceux qui jouissent d'une vie heureuse sur
terre souffrent plus tard, et réciproquement.
Mais un élément de l'histoire nous fait penser que les choses ne sont ni aussi
automatiques, ni aussi caricaturales: c'est la mention des avertisseurs que
sont la Loi de Moïse et les prophètes; grâce à eux donc, il serait possible
de gagner sûrement le paradis.
Et l'on cherche dans l'histoire du pauvre et du riche ce que l'un et l'autre
ont bien pu faire (pour ou contre ces avertisseurs) pour mériter leur sort;
on peut alors faire pas mal d'hypothèses, mais le seul élément objectif que
l'on trouve, c'est que le pauvre avait un nom et le riche pas. Le pauvre était
quelqu'un devant Dieu, alors que le riche n'avait fait que profiter toute sa
vie, sans vraiment faire quelque chose de sa vie.
Alors la conclusion: être heureux (dans le sens: festoyer, profiter de la vie,
bien manger, etc.) n'est pas une garantie de salut. Mais faire quelque chose
de sa vie, être quelqu'un devant Dieu en est une. Et c'est donc peut-être cela
qui peut faire que nous serons heureux ou non sur la terre !
Et la foi dans tout cela ? Peut-être que cette histoire nous dit que ce n'est
finalement pas le plus important. Luc 12, 31 dit: "préoccupez-vous d'abord du
royaume de Dieu, et tout le reste vous sera donné en plus" ... sans doute que
la foi aussi !
Quant au vrai bonheur, sans doute réaliserons-nous vraiment ce qu'il est lorsque
nous serons parvenus, par Sa grâce, dans son Royaume !
